•  Cette question nous met souvent tellement mal à l'aise qu'elle est rarement abordée.

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  • Aujourd'hui, Dieu demande-t-il encore de nous abstenir de certains aliments ?

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    Peut-on rire de soi-même ou doit-on rester sérieux en toute occasion ? 

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    Peut-être avons-nous tous entendu les paroles de ce chant universellement connu. Elles sont associées à toutes sortes de clichés nostalgiques. Cependant, pour beaucoup, à cause de la Covid-19, cette fête aura un triste goût d'inachevé. Et pour Marie et Joseph, un accouchement dans les conditions que nous imaginons ne devait pas représenter à proprement parler une douce nuit.

     

    Car accouchement il y a eu. Dans une étable, loin du soutien de la famille. C'est l'image d'un Dieu qui se fait homme (et non le contraire), qui vient jusque dans notre condition humaine, dans notre nuit, partager notre existence, notre solitude, nos doutes, nos combats, et aussi nos joies et nos réussites. Jésus n'a jamais été un maître terrestre et tyrannique qui voulait se faire servir. Au contraire, il est venu servir et, jusqu'à la croix, se sacrifier pour l'humanité. Le plus beau cadeau de Noël, c'est lui.

     

    Voici Noël, ô douce nuit... Vraiment ?Cette année, peut-être nos fêtes seront-elles différentes. Jésus, par contre, sera toujours le même, proche de nous. Soulignons dans nos bibles et gardons dans un coin de notre mémoire les paroles de l'ange aux bergers : "N'ayez pas peur : je vous annonce une nouvelle qui sera pour tout le peuple le sujet d'une très grande joie. Un Sauveur vous est né aujourd'hui dans la ville de David ; c'est lui le Messie, le Seigneur." (Luc 2.10.) Ce sauveur attend notre invitation, que nous nous arrêtions et que nous lui offrions notre coeur. Jésus est venu, il est encore là par son Esprit. Sa présence en nous peut tout changer, bannir la peur et nous entraîner vers des horizons insoupçonnés. Que ce Noël soit l'occasion de renouveler notre engagement et notre confiance.

     

    Alors à toutes et à tous, un beau Noël !


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  • Comment ça ? On sait tous que la peur peut être un frein, mais quant à dire qu'elle est un moteur... vous auriez des exemples ?

     

    La peur, un moteur ?On peut citer : se précipiter sur les actions du Black Friday par peur de rater une opportunité historique. Accumuler des réserves de toutes sortes par peur de manquer. Foncer sur la route pour ne pas être en retard. Fermer sa porte aux étrangers par peur de l'inconnu ou d'être dérangé. Descendre depuis 15 ans dans le même hôtel du même village par peur de la nouveauté. Acheter la voiture la plus belle par peur d'être raillé. Juger les autres pour ne pas se remettre en question. Sourire hypocritement aux membres du club ou de la paroisse par peur d'être jugé. S'épuiser à tout prévoir par peur de se tromper. Et la prière avant de dormir par peur des cauchemars ou d'être oublié de Dieu ?... Là, je m'arrête. Auriez-vous un exemple personnel ?

     

      Une certaine peur est utile, elle nous protège des accidents. Mais vivre sous son emprise est un esclavage.

     

      Le Psaume 33 dit : "Du haut du ciel, l'Eternel regarde la terre. Il voit tous les humains (...) il reste attentif à chacun de leurs actes (...) il prend soin de ceux qui le révèrent/respectent, comptant sur son amour pour les délivrer de la mort et préserver leur vie aux jours de la famine."  Loin du fatalisme, réalisons qui est Dieu et qui nous sommes pour lui. Des famines ou des accrocs pourront survenir mais il sera toujours là, lui la source de confiance et de paix. Puissions-nous faire nôtre la suite du Psaume : "Oui, nous comptons sur l'Eternel, il est notre secours et notre bouclier. En lui nos coeurs trouvent leur joie, et notre confiance, nous la plaçons dans le Dieu saint." 

     

    Alors bonne suite de parcours, avec la paix de Dieu qui surpasse toute intelligence.

     

     


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